Par Yvan Poirier

Salutations Chers Frères et Sœurs en Éternité,

Première partie

Le doute qui s’installe subtilement dans la conscience peut être subjectif et mauvais conseiller. Les moments de fatigue, d’épuisement, de maladie, de tergiversation et de contradiction qui envahissent soudainement notre conscience peuvent nuire au discernement et fausser nos décisions.

Or, dans le contexte de cet article, Il s’agit des doutes face à des situations où nous devons trancher, car les décisions vont avoir des répercussions directes sur l’orientation de notre vie.

Le doute fait partie du cerveau reptilien qui place l’intellect ou le mental dans des dissonances cognitives l’empêchant de discerner vibratoirement à propos d’un événement ou d’un questionnement fondamental face à notre vie. Cela devient l’expression d’une dualité déconcertante, un duel entre ce qui nous paraît raisonnable et ce qui ne l’est pas. Afin de mieux comprendre les mécanismes du cerveau reptilien, je vous invite à lire l’article suivant :

« LA VOIX DU CŒUR OU DE L’IMPERSONNEL QUI NOUS PARLE N’EST CERTES PAS INTELLECTUELLE… »

En fait, le doute est une partie de nous-même incapable de discerner le vrai du faux pour les raisons évoquées plus haut. La méconnaissance de la réalité invisible qui est en nous est à l’origine du doute à cause de l’enfermement qui empêche de reconnaître les situations à partir de l’intelligence du Coeur Vibral. Ainsi, l’intellect par son analyse fragmentée demeure en conflit parce qu’il est obnubilé par son manque de confiance et se base sur le connu pour évaluer les situations.

Nous savons généralement que le doute est une interrogation face à différentes facettes d’une situation qui demande un discernement quelconque, comme par exemple, se pencher sur un choix à faire et qui ne semble pas évident. Ce peut être un pressentiment, une impression ou une intuition d’une réalité difficile à discerner. Cela diffère souvent de la certitude ou de l’incertitude, une notion difficilement interprétable.

On peut dire également que le doute se dissout à partir du moment où nous vivons une Évidence marquante issue de la Lumière en soi et qui se manifeste concrètement. Ainsi, nous réalisons que cette Évidence spontanée ne peut être rejetée ou niée, parce que nous la vivons autant dans notre conscience que dans notre corps. Nous prenons conscience de cette Évidence et elle devient une certitude sans revendication possible.

Pourquoi doutons-nous, quelles en sont les raisons ? Disons d’abord que la pensée est polarisée, c.à.d. soit positive soit négative, ce qui amène à douter à partir des connaissances que nous avons acquises à travers nos expériences passées. Donc, si la pensée polarisée n’est pas objective, on se retrouve inévitablement dans un dilemme avec soi-même.

Ces dissonances cognitives sont avilissantes parce qu’elles éveillent la crainte de se tromper ou de ne pas être à la hauteur en prenant une décision que nous pourrions éventuellement regretter. Nous sommes souvent coincés à cause des répercussions directes ou indirectes que nos décisions pourraient occasionner.

Le doute entraîne souvent la peur et l’insécurité face aux risques que pourrait avoir une décision. Le doute peut se manifester encore plus fort à cause de croyances aveugles ou de faux concepts et cela crée des états émotionnels exacerbés qui affectent notre jugement.

Le doute peut aussi réduire notre capacité à se connaître soi-même, plus spécifiquement nous empêcher de nous reconnaître au-delà de la personne/ego. Qui plus est, le doute peut résulter en un manque de confiance en ses capacités ou à la crainte de ses propres opinions parce que nous nous basons sur le passé ou sur les opinions d’autrui pour évaluer le présent. C’est ainsi qu’on se sent médiocre plutôt que d’être dans la confiance en soi-même sans peur et sans crainte.

Je vous invite à observer cette peur qui touche les émotions et qui se manifestent dans le corps, plus précisément dans le troisième cerveau situé au bas du ventre. Enfin le doute peut aussi occasionner des états de résistances et de craintes autant physiques, psychiques, psychologiques, qu’énergétiques. Cela peut créer de l’insécurité, de l’instabilité ou même provoquer soudainement une maladie, une dépression ou un burn-out qui se transforme en Burn-in. Ce qui peut également développer une volonté exaspérée de trancher une décision dans le but unique de se libérer du doute.

Cette peur qui se manifeste au sein du CHAKRA racine situé au périnée, le point entre l’anus et les organes sexuels, joue un rôle prépondérant au sein du corps et provoque de l’inconfort qui peut aller jusqu’à déclencher des maladies. C’est ainsi qu’on se retrouve avec des raideurs musculaires, des tensions nerveuses, des troubles de l’estomac, une mauvaise digestion, de l’hypoglycémie, même des problèmes de rate et de foie. Ces désordres organiques sont dysfonctionnels et peuvent avoir des effets nocifs sur les organes inférieurs, tels les intestins qui peuvent littéralement se bloquer et nous empêcher de prendre des décisions avec discernement. La peur crée indiscutablement de l’angoisse et du stress et empêche de prendre les décisions justes qui libèrent du doute...

La suite demain…

Avec tout mon Amour Indicible !

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